Souvenirs, souvenirs ...[Espère être rejoint]

Après s'être acheté son équipement, Baradir recut l'ordre d'éffectué un tour de reconaissance pour prendre en compte les défenses. Il commenca à marcher avant de rejoindre la muraille. Les habitant parlaient, les chevaliers Gondoriens se restauraient ou souvent étaient ivres mort...
" Quelle perte pour le Gondor que des hommes ivres..."
Il regarda avec méprit les chevaliers qui chantonnaient complètement ivres et les femmes qui gloussaient en les voyants...

Il monta ensuite les escaliers menant aux remparts. Un magnifique vue ! Splendide. Les terres de Mordor était redevenue éteincelante. Un épaisse couche de nuages en sortait. Baradir se revoyait la scènes où il tenta de sauvez son frère :

" C'était lors de la bataille de Minas Tirith, les boules de feux espédiés par les catapultes énemies, faisaient des ravages ! Baradir pouvait entendre :

- La citée est en feu ! Sauvez-vous !

Il pouvait aussi entendre des femmes hurlées à la mort. Le total chaos. Il commenca à tués quelques orcs qui essayaient de franchir la petite route qui menait aux 2e niveaux. Il continua à se battre quand son frère le rejoint :

- Baradir ! Ils vont détruirent la porte ! Vite, allons défendre la cour !

Baradir aquièscat d'un signe de tête et ils courèrent vers la cour. Le Maître Gandalf, commencaient à remonté le moral des troupes avant que la porte ne cèdent. Quand elle céda, Baradir et son frère furent en première ligne. Le combats faisait rage. Baradir venait de tué trois orcs quand il entendit un cris. Son frère venait d'être expulser par le baton d'un troll, sur un batîment qui tomba en ruinne sous le choc."

Baradir pouvait encore entendre les cris désespéré de son frère. Baradir s'éffondras en pleurant, en repensant à cette bataille, à ce sauvetage désespéré....

Berethor revenait de son tour de garde près de la citadelle. Il avait rencontré un bon soldat. Il s'apellait Gladrir. C'était un enfant encore. Un homme qui venait de quitter le monde de l'enfance. Il marcha vers la muraille. La citée était envahie de soldats ivres. Berethor préféra fermer les yeux plutôt que de voir ceci. Il alla à l'écurie pour nourrir son cheval. C'était un bon cheval.

Berethor nourri son cheval. Puis, il continua à se promener dans la citée en réglant quelques petite affaires par-ci, d'autre par-là.... Puis, il monta les escaliers menant à la muraile. Il rencontra un soldat, plonger dans ces rêves. Berethor ne fi pas attention à lui puis, il entendit un cris. Berethor dégéna son épée et se retourna. C'était le même soldat qui était maintenant plongé dans de long sanglots. Il remit son épée en place et accourut vers le soldat. Il le souleva et demanda.

- Mon amis ! Eh ! Mais reprennez-vous enfin ! Quesqui ce passe ?

Ce souvenir était très douloureu pour lui. C'était même insoutenable. La vision de son frère mourrir sans que rien qu'il ne puisse rien faire, le térrorisa. Il essaya d'éssuyé ses larmes, puis il regarda le soldat qui éssayait de le consoller.

- Je...Je...

Baradir ne trouvait pas ces mots... Il continua à pleurer silhencieusement, puis il se releva péniblement.

- C'était juste un souvenir... De mon...Enfin...

Berethor l'aida à le relever. Puis, il l'écouta. Il parlait d'un souvenir très troublant.

- Ce souvenir à l'air très douloureux pour pleurer ainsi... Vous voulez en parlé ?

Berethor le regarda en attendant ca réponse.

Baradir s'éssuya les larmes une dernière fois avant de lui répondre :

- Je repensait juste à un souvenir très douloureux... Celui de la mort de mon...

Baradir eut une voie un peu dramatique

- Je...Depuis ma tendre enfance, j'ai toujours rêvé de me battre pour le Gondor. De me battre pour ma famille, pour qu'ils soient fiers de moi. Mais depuis ce jour, je suis comme un homme qui à perdut son courage. Moi je n'ai plus raison de vivre... Je n'ai plus de courage...

Baradir tapota l'épaule de son compagnon avant de s'assoir sur le rebort de l'escalier qui décendait dans la citée

Berethor l'écouta attentivement. Ce qu'il disait n'avait pas de valuer pour lui puisqu'ils se conaissaient à peine.
Mais rien que d'entendre ce qu'il disait, Berethor avait envis de le soucouer pour qu'il reprenne la raison

- VOUS NE POUVEZ DIRE CELA !

Berethor avait hurler tellement fort que tous les Gondoriens le regardait

- La vie à toujours un sens ! La vie est faîtes de malheurs, certes, mais il y as du bonheur dans chaque vie. Vous ne pouvez dire cela !

Baradir l'écouta sans même être rassuré . Comment pouvait-t-il lui dire ceci ?! Il ne savait même pas ce qu'il avait enduré ! Il ne savait pas de quoi Baradir parlait ! Baradir sentait son coeur battre à tout rompre ! Baradir se leva et commenca à hurlé :

- Qui êtes-vous pour me dire cela ?! Vous ne savez pas ce que j'ai enduré ses 5 dernières années ! Vous ne connaissez même pas mon histoire ! VOUS NE ME CONAISSEZ MÊME PAS ! PERSONNE NE PEUT VIVRE CE QUE JE VIT ! PERSONNE !

En voyant le ton que Baradir avait prit, Berethor comprit ce qu'il avait dans le coeur. Mais parlé de cette fason ne lui plaisait pas...

- Alors, racontez-la moi votre histoire ! Dites tous ce que vous avez sur le coeur pour vous libérez ! Vou ne pouvez gardez cela trop longtemps, croyez-moi !

Berethor s'assit à côté de Baradir en attendant sa réponse. Ce qu'il voulait, ce n'était pas d'entré dans ca vie privée mais de plutôt l'aidé à le libéré de ce fardeau.

Baradir essaya de reprendre son calme. S'était une bonne idée qu'avait eu le soldat qui s'asseyait à présent à côté de lui. Se qu'il avait sur le coeur était très pesant. Il fallait qu'il se libère. Mais par où commencé ?

- Je...Quand j'étais née, je ne me souvenait que d'une seule image. Celle de ma mère me souriant. Celle de mon père m'embrassant. Je pouvait encore sentir cette chaleur sur mes joues. Un tels moment de bonheur pour ces parents ne pourrait s'oublier. Une magnifique journés parait-il... Ma mère travaillait dans un bar nommé " La furie du Gondor" à Minas Tirith. Elle était servante. C'est dans ce bar qu'elle à rencontrée mon père. Mandarilh... Un magnifique personnage à l'époque... Elle m’as racontée plusieurs fois que mon père était le plus célèbre Gardien de la Citadelle. J’étais heureux de savoir mon père célèbre. Je me souvient quand j'évais un peu près trois ans, que mon père et ma mère se disputaient souvent. Mais quelques fois, je les entendaient hurlés comme des bêtes dans leurs lits...

Après se petit récit, Baradir s'interrompit et dit :

- C'est bizarre comme les parents peuvent changés d'avis si vite. Moi qui n'as pas eu d'enfant ni de femme, je ne connait pas ceci. Mais quand j'étais enfant je...J'avais envie de tout défoncé quand ils me disaient " Baradir tu est un homme maintenant" puis après quand je marchaient sur un petit muret où je risquait de tombé " Baradir ! Descend de là tout de suite où je t'attrape et tu seras punis !"

Berethor écouta attentivement le récit de Baradir. Il avait raison. Berethor avait connus ceci auparavant... Il voulait en savoir plus pour connaitre l'état de ce soldat. Il lui demanda :

- Et...Et après ?

- Quelques semaines après ( j'avais toujours 3ans) je crois me souvenir que ma mère m'avait annoncé que j'allait avoir un ptit frère. Maman fue enceinte de mon ptit frère Ucntélion. Drôle de nom pour un Gondoriens non ? Ucntélion me fait pensé à un ancien soldat de Numénor... Enfin, j'ai grandit avec Ucntélion et à l'âge de mes 10ans, mon père m'apprit à tenir une épée. Pour moi, c'était un grand momment de bonheur tu sais... La première confrontation avec ton père, plus vaillant et plus courageux que toi, ca te donne l'impression que ton père est un héros... Moi j'adorait ça. 3 ans plus tard, je combattait comme un rai chef ! une vrai star de l'épée. J'avais envie de me battre avec mon père pour voir ce que mon entraînement donnait. Résultat, je l'ai blèssé à la jambe. Je pleurait comme il était entrain de pissé du sang et lui... et lui... Il rigolait ! Oui oui, il rigolait ! Je t'assure il rigolait !

Berethor l'écouta attentivement. Pour lui, c'était amusement d'écouter une histoire en sachant que peut-être il allait mourrir dabs 5 jour. Ont aurait dit que c'était une trêve. N'empêche, depuis quelques jours, Berethor n'as plus combattus. Quand il entendus la confrontation de lui contre son père Berethor émèttas un petit rire.

- Il m'est arrivé un peu près la même chose, sauf qu'à mon père, il lui manquait la moitié de ses cheveux !

Baradir pouffa de rire. Les cheveux, il à surement dut payer le coiffeur !!!!! L'idée de partagé se moment avai un soldat le rassurait presque. Après quelques moment de silhence, Baradir poursuit :

- Ouais, nous ne sommes peut-être pas si différent que cela mon amis ?

Enfin, je poursuit. J'avais envi de rire avec lui, mais la vue du sang me dégoutait et j'ai préféré allé prévénir ma mère pour lui racontée ce quil s'était passsé avant d'aller vomir un bon coup... Résultat, ; Nous avons été privé d'épée. Ce qui pour mon père était très dure étant donné qu'il assurait la protection de l'intendant qui à se temps-là n'était pas Dennéthor mais son père Iderrod. Mon père l'appréciait beaucoup, ils paratgeaient souvent quelques bière bien brassé avant de revenir à la maison complètement ivres ! Ma mère détestait cela surtout que mon père ne faisait pas attention à Ucntéllion qui avait maintenant 10ans et un mental pas très dévelopé. Ucntéllion depuis ce jour n'osait pas regardé son père boire une bière, il à dus être choqué a mon avis... Quelques jours plus tard, je pus récupéré mn épée etant donné que c'était mon anniversaire. Ah ce moment-là, j'us la permission de m'inscrire dans les cours pour devenir chevalier du Gondor. J'était tellement heureu que je n'avait pas fait attention à Ucntéllion qui était très jalou de cete permission qy'il avait complètement boussilé ma chambre à mon retour. J'avais perdut toutes mes affaires. J'avais été très en colère, je l'ai même menacé de le tué avec mon épée s'il recommencait. A ce moment-là, il m'as traité comme jamais je ne saurait répèté. J'avait été tellement choqué que j'ai décidé de fuguer avec le cheval de mon père.

Berethor souria. Maintenant, il avait envis de lui raconté son histoire à lui aussi. Mais en y repensant, l'histoire de Berethor n'avait rien de très intérrèssant... Il continua à écouter le réci de Baradir sans dire un mots

Baradir poursuit :

- J'ai apprit à me débrouillé seul pendant près de 8 ans ! Pendant 8 ans je n'ai plus revut mon père, ma mère, ni mon petit frère. J'ai traversé le Rohan, la Lothloriens et même l'Eregion ! C'est ici où j'ai rencontré la première fois, Maradir. C'était un des nombreux dunnédian qui parcourait l'Eregion. Mais celui-ci étiat particulièrement gentil. Lors de notre rencontre, je campait. Quand il est arrivé, il à tiré une flèche pour prévenir qu'il était là. Moi, intinctivement j'ai déguéné mon épée et j'ai réussit à le maitriser. Je l'avais plaqué contre un arbre et il n'osait plus bouger. Je lui avait demandé qui il était, il m'avait répondut qu'il s'appellait Maradir et qu'il était ici pour mangé. Les Dunnédians sont des voleurs come tu le sais...

Baradir soupira et dit :

- J'ai accepté de lui donné à mangé et nous avons parlé autour d'un bon feu. Nous avons apprit à nous connaître et nous avons tout deux sentis qu'une relation commencait à apparaître... Nous avons vécus 5ans ensemble à voyager. Il m'as apprit comme survivre dans les forêts, il m'as apprit tout ce qu'il savait. J'était devenus un vrai Rôdeur et franchement, j'avais oublié la richesse de Minas Tirith pour la pauvreté des bois de l'Eregion. Nous avons survécus. Pour moi, Maradir était mon nouveau père, c'était un vrai père oui... Jusqu'à ce qu'un jour, des barbatres venus du Rohan, ont commencé à pillier les villages des alentours. Nous avons défendus à l'aide de nos épée, l'un des village. Le village natal de Maradir. Mais...Mais Maradir fut tué par un de ces hommes sauvage. J'était un peu plus loin et je vut comment il à été tué, écorché vif par un des hommes. A partir de ce moment-ci, l'animal qui ce trouvait en moi c'est réveillé. Je...Je les ai tous tué. Comme de piètre loups que je chasse... Ils son tous mort, tué, écorché tous tuez sarcastriquement !

Berethor continua à suivre son récit. Ils avaient déjà passé 1h59 à s'écouté. Berethor continua d'écouter son récit. Pour lui, l'histoire de Baradir était parsemé de Haut et de Bas. Il y avait beaucoup de moment de bonheur passé avec ce certain Madarir. Mais quand il écouta que Madarir était mort. Berethor senti des larmes coulée sur ses joues. Il était tellement plongé dans ce récit qu'il en devenait un personnage. Enfin, il dit :

- Tu sais, je sais ce que c'est de perdre un être cher comme Ce Rôdeur... Ca à dut être térrible pour toi. Mais ce que tu as dit, tu as dit que tu avait tué tous ses hommes ainsi, cela m'as bouleversé. Ta colère à prit possètion de toi et tu à libéré tes mouvement caché depuis que tu as fugué.Tu peut poursuivre, si cela ne te fait pas trop mal.

Bardair souria puis, il poursuivit :

- J'ai pleuré trois longues heures devant Maradir. J'espérait qu'il se réveillerait... Mais non... Alors je l'ai entérré en l'embrasse une dernière fois son son torse par serment d'allégeance. Maintenant, je ne savait plus trop qui j'étais, ni qui était ma famille. J'avais oublié ma vie d'avant. Pendant 3ans je vécus dans les forêts comme Rôdeur. Oui, maintenant je faisait partie des Dunnédains, j'avais prit l'arc et l'épée de Madarir en souvenir. J'avais 21ans... Un jour alors que je manquait de nourriture, j'entendit un chariot. Je repoussa les brousalles qui étaient devant moi pour apercevoir ces étrangé. Et là, j'ai crut reconnaitre ces personnes, un homme d'environs 18ans, une femme et un homme richissiment, leurs chariots étiat bonbé de nourritures. J ne fit pas attentions aux personnes qui s'y trouvaient et je l'ancai deux flèches sur le cheval. Il tomba lourdement sur le sol. Les personne hurlèrent et moi, je sautai par dessus le chariot. Puis, l'homme m'avait repéré. Il était grand et un peu âgé. Il me provoqua en duel. Je commencai à me battre contre lui jusqu'à ce que je le mette à terre. Son pantalon se déchira et je vus une grande cicatrice. C'était mon père !

Baradir prit une profonde inspiration puis, il poursuivit.

- J'étais entrain de me battre contre MON père et les 2 personnes qui se trouvaient dans le chariots etaient ma mère et mon frère. J'eu un térrible frisson dans le dos. Mon visage fut parcourrut d'horreur. Puis, avant de mourrir, mon père me dit :

- Je suis fier de toi mon fils.

C'est à ce momment-là qu'Ucntélion et ma mère me reconnut. Ma mère hurla et mon frère pleura. J'avais tué mon propre père. C'était horrible. Je me souviens que ma mère m'avais frappée, hurlée et enguélée. Pendant deux mois, ils me laissèrent dans les bois avant qu'Ucntélion vint me chercher. Il me prévena que maman était morte. Il avait dit qu'elle avait pleuré beaucoup de trop et qu'elle l'avait supplié de la tué. Donc Ucntélion l'as tué et il est revenu me chercher. Il m'as dit qu'il était devenu une star à l'épée et deux semaines plus tard nous nous engageâmes dans l'armée Gondorienne.

Berethor écouta attentivement le récit de la mort de son père et le suicide de sa mère. Une fin tragique pensa Berethor. Il commenca à prendre goût à cette histir et il voulait entendre la suite. Il tapota l'épaule de Baradir et lui dit :

- Continus...

Baradir se frotta le front et il continua :

- C'était génial en quelque jours j'éait passé Sergent-chef des défenses et mon frère lui était Caporal. Il s'était fait 9 amis depuis que j'étais partis. Ce fut une drôle de sensation de revoir notre ancienne maison où maintenant il y a un plaque gravée où il est marqué " Ici repose Undirilh femme du grand et courageux Mandarilh...". Nous avons vendus la maison qui as étée rachetée oar un couple riche qui venait de s'installé. Nous vécumes heureux. Ucntélion s'était trouvé une femme qui est maintenant ma belle-soeur. Mais 14ans plus tard, ce fut le drame. Nous nous anoncâmes que nous devions plongée dans la grande bataille où tout le mondé étiat concerné. Pendant 7mois, nous ne fîmes rien de très particuliers. Mais le 7e mois, un Capitaine est revenus à L'Osgiliath avait l'anneau qui à plongé l'Ogiliath dans les ténébres.
Pendant trois jours, ne regardâmes l'Osgiliath qui se faisait massacrée. Puis une semaine plus tard, un Magicien est venus nous prévenir d'une attaque...

Baradir senti ses larmes coulées sur ses joues puit il dit :

- Ce fut trois jours après que Minas Tirith se fut attaquée. C'était le chaos total 7 amis de mon frère furent tués sauvagement. Moi je me battais sur les remparts quand...quand...Ucntélion arriva. Il me prévena que la porete allait cédé et qu'il fallait défendre la cour. Nous étions en première lignes. Les Orcs était beaucoup trop nombreux et ils avaient un capitaine troll d'assaut. Il s'attaquait à moi, mais je préféras lâchement me replier alors que je pouvait le tué.

Baradir pleura :

- Je (snif) je continua à me battre quand ( snif ) quand... ( snif) j'apercut le troll que je faillit (snif) tué ! S'attaqué à Ucntélion ( snif) Il venait de l'expulser sur un batîment qui (snif) sous le choc tomba en ruine. Mon frère se trouvait en dessous quand les ruines tombèrent sur lui...snif...snif...snif J'ai essayé de déblayé les débrit mais...snif...il était enfuis dessous...snif... Je n'ai rien put faire appart faire comme avec Maradir...snif...snif

Berethor l'écouta attentivement.
Il avait l'impression de vivre ce que cet homme, qu'il ne conaissait
presque pas, avait vécus.

Lors de la bataille pour Minas Tirith, Berethor était sur la cour et il se battait avant de se replier au 7e niveau.